Rubrique : Non classé
Médicaments écrasés : une technique souvent mal maîtrisée Non classé
Reconnaître la pénibilité ne suffit pas Non classé
Avec la création du compte personnel de prévention de la pénibilité, la nouvelle réforme des retraites reconnaît que certaines conditions de travail dégradent la santé des salariés. Si la réforme s’applique dès le 1er janvier 2014, ce compte, lui, n’entrera en vigueur qu’en 2015 et ne sera pas rétroactif.
Comment en faire des alliées ? Non classé
Les familles et les proches du résident sont aujourd’hui des acteurs incontournables de la vie en Ehpad. Ils occupent une place grandissante et, à ce titre, expriment de plus en plus d’attentes à l’égard de l’institution. Reste, pour les professionnels, à construire une relation neutre et sereine avec eux, condition sine qua non d’une intégration réussie pour le résident lui-même. Ainsi, dans son rapport de « Recommandations de bonnes pratiques professionnelles » publié en décembre 2011, l’Agence nationale de l’évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux (Anesm) reconnaît que les relations avec les familles doivent être une priorité pour les professionnels. Ces derniers doivent entre autres chercher à « faciliter le rapport entre le résident et ses proches », « reconnaître la place des proches dans l’accompagnement des résidents » et « impliquer des acteurs extérieurs dans la vie de l’établissement ». Mais comment se construit cette relation et surtout de quoi doit-elle être faite ? En somme, l’institution doit trouver sa place dans des rapports familiaux pas toujours paisibles.
Dossier réalisé par Camille Grelle et Éliane Louvet
Catherine Réa, gériatre et conseillère médicale à la Fehap Non classé
Nous aurions aimé que le rapport Verger aille plus loin
Le rapport Verger sur la politique du médicament en Ehpad a été rendu public le 12 décembre. Ajoutées à celles du rapport de l’Inspection générale des Affaires sociales (Igas) sur la réintroduction des médicaments dans les forfaits soins, les 27 propositions formulées permettront d’élaborer un plan d’action pour une politique du médicament adaptée aux besoins des personnes âgées, lequel s’inscrira dans la future loi sur l’Autonomie. Pour Catherine Réa, gériatre et conseillère médicale à la Fehap, les conclusions du rapport sont satisfaisantes en dépit de certains oublis.
En bref En bref off, Non classé
Loi sur le vieillissement :
ça se discute
Conformément au processus officialisé par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, la concertation sur le projet de loi d’orientation et de programmation pour l’adaptation de la société au vieillissement bat son plein. Le calendrier est chargé puisque, le 6 janvier, Michèle Delaunay, ministre en charge des Personnes âgées et de l’Autonomie, a rencontré les fédérations d’établissements. Le lendemain, les discussions se sont poursuivies par des entretiens avec l’Union nationale des centres communaux d’action sociale (UNCCAS) puis avec les représentants des aidants, sans compter une réunion avec l’Association des départements de France. Tout au long de la semaine, Michèle Delaunay a reçu les acteurs de la prévention et de l’aide technique ainsi que les représentants de l’Association France Alzheimer. Les débats ont notamment porté sur le volet Accompagnement (aide aux aidants, accueil temporaire et accueil familial) de la future loi. Les consultations doivent s’achever fin janvier avant que le projet de texte soit soumis au Conseil économique, social et environnemental puis présenté en Conseil des ministres d’ici le 21 juin.