Le Gouvernement soigne les aînés
Présente à la conférence de presse que la CNSA organisait le 23 avril à l’occasion de son conseil et de l’adoption de son rapport d’activité annuel, la ministre déléguée aux Personnes âgées et à l’Autonomie, Michèle Delaunay, en a profité pour annoncer des bonnes nouvelles, une « denrée rare de nos jours », a-t-elle précisé.
Elle a ainsi confirmé la poursuite de l’effort de médicalisation des Ehpad en annonçant le déblocage de 15 millions d’euros supplémentaires par rapport aux 147 millions votés dans le cadre de la Loi de financement de la Sécurité sociale pour 2013, portant ainsi le total à 162 millions. Une enveloppe de 95 millions d’euros va également être dégagée sous forme « d’anticipation d’engagement » sur 2014. Le plan d’aide à l’investissement de 120 millions d’euros prévu va, lui, être augmenté de 20 millions d’euros afin d’apurer les contrats États-régions qui n’ont pas été honorés jusqu’ici. Enfin, la ministre s’est félicitée de la baisse de la sous-consommation des budgets de la CNSA puisque ce sont 189 millions d’euros du budget de la Caisse qui n’ont pas été consommés en 2012 contre 245 millions en 2011.
Perte d’autonomie d’un proche : 90 % des Français attendent des solutions concrètes
Selon un récent sondage, réalisé dans le cadre de L’Observatoire de la Santé, créé par Le Figaro et l’agence Weber Shandwick, la très grande majorité des Français (90 %) attendent des solutions concrètes pour les aider à faire face aux fragilités d’un proche, notamment davantage d’aides financières (42 %), en particulier pour les revenus mensuels inférieurs à 2 000 euros (48 %), ou encore la création d’un véritable statut juridique de l’aidant familial (34 %).
La moitié des personnes interrogées déclare s’être déjà occupée d’un proche en perte d’autonomie. Les trois quarts se sont fait aider par d’autres membres de la famille ou par un ou des aidants professionnels (respectivement 36 % et 33 % des cas) alors que 53 % des non-aidants actuels recourraient à un professionnel s’ils étaient confrontés à cette situation.
Les résultats de l’enquête sont accessibles sur demande à l’adresse mail [email protected] ou par téléphone au 01 47 59 38 95.
Une nouvelle appellation contrôlée pour les Ehpad ?
La Fédération nationale avenir et qualité de vie des personnes âgées (Fnaqpa) a décidé d’organiser un concours afin de trouver un nouveau nom aux Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. Un jury composé de membres de la Fnaqpa et de résidents se réunira en mai et sélectionnera les meilleures propositions. Les lauréats seront ensuite récompensés lors du Congrès national de la Fnaqpa, à Nantes les 20 et 21 juin prochains, et leurs idées transmises à Michèle Delaunay qui a accepté de recevoir des propositions en ce sens.
Pourquoi un tel concours ? Pour la Fnaqpa, le terme Ehpad n’est pas adapté. « Cela fait longtemps que nous nous bagarrons contre cet acronyme technocratique et désagréable pour les personnes vivant et travaillant dans ces établissements. Il ne reflète pas la réalité de leur lieu de travail ou de leur habitat, estime Didier Sapy. Les maisons de retraite sont avant tout des domiciles. Elles ont la particularité d’être médicalisées mais elles ne sont pas pour autant des établissements sanitaires. En leur sein, les soins techniques doivent être au service d’un projet de vie et non une fin en soi. La vie sociale et la citoyenneté doivent prévaloir. »
Les retraites du régime général revalorisées
Les retraites du régime général ont été revalorisées de 1,3 % à compter du 1er avril. Cette revalorisation est calculée sur la base de l’évolution des prix à la consommation hors tabac prévue pour l’année, à laquelle le Gouvernement ajoute une correction en fonction de l’inflation de 2012. Elle concerne les pensions personnelles et de réversion. Les retraités n’ont aucune démarche à effectuer : cette revalorisation est automatiquement calculée et a commencé à être versée le 10 mai dernier.
Le Syndicat national des technologies et services pour l’autonomie est né
Le syndicat national Asipag a été créé le 12 février. Il a pour mission de représenter les intérêts des acteurs exerçant une activité dans la conception, la fabrication, la distribution, la promotion et les services de produits et technologies pour le bien-vieillir. Ses membres devront s’engager à respecter une charte promouvant le respect de la vie privée des utilisateurs, la dignité des âgés et la mise en place de politiques commerciales loyales.
L’ARS Île-de-France veut développer la télémédecine en fin de vie
L’ARS francilienne soutient trois projets de télémédecine qui concernent les résidents en Ehpad. Baptisés Télégéria, TMG 91 et e-Vline, ils ont pour objectif d’améliorer le parcours de soins des résidents en mettant en relation, au plan régional, une cinquantaine d’Ehpad et cinq établissements de santé. Financés et évalués par l’ARS, ils portent sur le déploiement d’activités de téléconsultation et de téléexpertise dans des spécialités particulièrement adaptées aux pathologies du grand âge (cardiologie, médecine vasculaire, neurologie etc.) mais aussi sur la mise en place des solutions alternatives au transfert systématique aux urgences.
Directeur du pôle médico-social de l’ARS, Marc Bourquin rappelle qu’il « y a 120 000 personnes âgées dépendantes en Île-de-France et ce nombre augmente d’environ 3 000 chaque année. Parallèlement, le nombre de médecins spécialistes tend à diminuer. Nous nous inscrivons dans une logique de généralisation des pratiques innovantes en termes de parcours de santé de la personne âgée. L’objectif est qu’à l’horizon 2017, les 650 Ehpad de la région déploient les solutions qui auront été validées par l’évaluation médico-économique. »
Les établissements publics vont embaucher
« La Fédération hospitalière de France (FHF) est engagée pour la création de 9 730 emplois d’avenir à l’hôpital et en Ehpad », s’est félicitée Michèle Delaunay. Le 8 avril, la FHF l’a en effet rencontrée ainsi que Marisol Touraine lors de la signature d’une convention-cadre relative aux emplois d’avenir qui réunit l’État, la FHF et l’Association nationale pour la formation permanente du personnel hospitalier (ANFH).
La Fédération avait été sollicitée par le Gouvernement pour s’engager dans ce dispositif créé par la loi du 26 octobre 2012 pour permettre à des jeunes peu ou pas qualifiés de réussir une première expérience professionnelle et d’obtenir une qualification. La FHF avait accepté à quatre conditions : le dispositif ne doit pas avoir de caractère contraignant, comme la fixation d’objectifs quantitatifs, et le recrutement doit rester une décision propre aux directeurs ; il doit être prioritairement orienté vers le secteur médico-social ; la mise en œuvre doit se faire en partenariat avec l’ANFH ; enfin, le tutorat et les allocations de retour à l’emploi doivent être pris en charge financièrement par les pouvoirs publics. Autant de critères visiblement réunis.
Les métiers d’aide à la personne, un gisement d’emplois non négligeable…
En participant, mardi 26 mars, à la remise de diplômes du Centre d’initiative des métiers d’aide à la personne (Cimap) aux Mureaux (78). Michèle Delaunay a rappelé que dans un contexte économique difficile, les métiers d’aide à la personne constituent une opportunité d’emplois non délocalisables et que ce secteur va connaître un développement exponentiel. En effet, « dans quinze ans, les plus de 60 ans représenteront 30 % de la population et ces générations issues du baby boom s’engageront dans la prévention et l’anticipation de leur propre vieillissement avec la volonté de demeurer chez elles dans les meilleures conditions et en prise direct avec les aides et la vie sociales », assure le ministère des Personnes âgées et de l’Autonomie.
Dans cette optique, le Cimap 78 propose des services d’échange et de partage de connaissances en alliant deux objectifs : insérer des demandeurs d’emplois sur le marché du travail et moderniser la filière des métiers d’aide et des services à la personne. Une initiative qui, pour Michèle Delaunay, s’inscrit dans la volonté gouvernementale de structurer un plan d’action global et concerté en faveur des métiers liés au vieillissement.
Le Gouvernement parie sur la silver economy
Le Gouvernement a donné le coup d’envoi de la filière silver economy, laquelle regroupe les acteurs agissant pour et avec les personnes âgées. Pour la ministre en charge des Personnes âgées et de l’Autonomie, Michèle Delaunay, et son collègue du Redressement productif, Arnaud Montebourg, il s’agit d’une opportunité à ne pas manquer pour l’industrie française. Cette nouvelle filière économique et industrielle devrait en effet être porteuse de croissance et d’emplois au cours des prochaines années.
Six mois après l’instauration, par Michèle Delaunay, de groupes de travail réunissant entreprises, syndicats, économistes, financeurs et acteurs de la silver economy, le rapport sur le secteur est aujourd’hui sur la table. Dans ce document, remis le 24 avril aux deux ministres, les auteurs proposent notamment de définir une stratégie nationale et de la décliner au niveau des régions sous forme de schémas régionaux silver-économiques. « Nous devons favoriser la création d’une filière industrielle et d’un écosystème de l’innovation propre à la silver economy », recommandent-ils.
Michèle Delaunay reconnaît le nombre insuffisant de professionnels auprès des personnes âgées
La ministre déléguée aux Personnes âgées et à l’Autonomie est intervenue le 9 avril devant le Congrès des professionnels en gériatrie. À cette occasion, elle a rappelé que les ratios de personnels prévus en établissement par le Plan solidarité grand âge de 2006, soit 8 professionnels pour 10 personnes âgées, n’étaient pas atteints. L’Association des directeurs au service des personnes âgées (AD-PA) s’est déclarée « ravie de cette prise de position » et espère que « cette déclaration, en reconnaissant le réel, rende plus modestes les pouvoirs publics quant à leurs exigences à l’égard des professionnels et leurs promesses à l’égard des personnes âgées et des familles. »
Michèle Delaunay attend par ailleurs beaucoup des réflexions actuelles sur les parcours de santé visant à améliorer la qualité des interfaces entre le domicile, les établissements médico-sociaux et l’hôpital. « La coordination et la prévention apportent de réelles améliorations et peuvent même générer des économies à condition d’être considérées comme des investissements, donc un engagement et une dépense avant d’être un gain », estime toutefois l’AD-PA.
Report du test immunologique du dépistage du cancer colorectal
Un nouveau test immunologique plus performant et simple que les tests au gaïac devait être utilisé à partir de cette année dans le cadre du dépistage organisé du cancer colorectal. Finalement, la substitution ne sera pas aussi rapide que prévue. Ce test immunologique ne sera en effet généralisé que l’année prochaine, principalement pour des raisons d’organisation. Il est pourtant attendu depuis longtemps par les professionnels. Plus spécifique et sensible que les tests au gaïac, il permet en effet de dépister 2 à 2,5 fois plus de cancers et 3 à 4 fois plus d’adénomes avancés que le dispositif actuel. Il est aussi plus facile à réaliser (un seul prélèvement au lieu de six). Il est également plus fiable tandis que son ergonomie plus adaptée laisse présager une meilleure acceptabilité par la population. Ce qui, compte tenu de la faible participation au dépistage organisé, constitue un argument de poids.
Cependant, la DGS a précisé que de nombreuses étapes sont encore nécessaires, en particulier la sélection du test par appel d’offres, le choix des solutions de lecture et les modifications du cahier des charges des dépistages organisés.
La prescription de la CNSA pour soigner le parcours de vie des aînés
Lors de sa séance du 23 avril, le conseil de la CNSA (Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie) a formulé, dans le cadre de l’adoption de son rapport annuel, une série de propositions pour assurer une meilleure continuité des parcours des personnes âgées et des personnes handicapées. Le conseil de la Caisse a fait treize préconisations conditionnant, selon lui, un meilleur fonctionnement des services et des acteurs intervenant dans la vie et la prise en charge sanitaire des personnes âgées et handicapées.
Dans la droite ligne des expérimentations en cours sur les parcours de soins pilotées par l’équipe en charge de la stratégie nationale de santé (sous la houlette d’Alain Cordier et de Denis Piveteau), la CNSA a décliné ses items autour de six grands objectifs généraux : une pleine participation des usagers, une impulsion nationale claire et cohérente, une organisation intégrée des acteurs locaux, un contexte favorable à la coopération, une offre d’accompagnement et de soins graduée et diversifiée et enfin, une progression de la connaissance via des travaux de recherche.
Régénérer le cerveau bientôt possible ?
Favoriser la production de neurones chez les personnes âgées présentant un déclin cognitif : l’ambition est à la mesure de la société vieillissante marquée par l’essor des pathologies neurodégénératives. Comme le révèle l’Inserm, des chercheurs de l’Inserm et du CEA ont montré que le blocage pharmacologique de la molécule TGFβ améliore la production de nouveaux neurones chez la souris. De quoi entrevoir la généralisation de thérapies qui permettraient d’optimiser la production de neurones pour pallier le déclin cognitif chez les personnes âgées mais aussi limiter les lésions cérébrales causées par la radiothérapie.
Les chercheurs ont constaté que ni de fortes doses d’irradiation ni le vieillissement ne font disparaître complètement les cellules souches neurales capables de reformer des neurones. Celles qui survivent restent localisées dans la zone sous-ventriculaire du cerveau. En revanche, elles semblent ne pas pouvoir fonctionner correctement.
Alzheimer: Obama veut 100 millions de dollars pour la recherche
Le 2 avril, le Président des États-Unis Barack Obama a demandé aux membres du Congrès de débloquer 100 millions de dollars dès 2014, afin de financer la recherche scientifique et médicale relative au fonctionnement du cerveau humain. L’objectif est, à terme, d’apporter des réponses efficaces aux maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, les maladies psychiatriques, les traumatismes cérébraux ou encore l’autisme. Cette initiative est intervenue après la publication d’un rapport de l’Alzheimer’s Association précisant qu’une personne âgée sur trois aux États-Unis meurt en étant atteinte de la maladie d’Alzheimer ou d’une autre forme de démence.
Comment mieux prendre en charge de la maladie d’Alzheimer ?
La maladie d’Alzheimer et les maladies apparentées touchent près de 7 millions de personnes en Europe et concernent de 20 millions d’aidants familiaux. C’est le constat de l’action conjointe Alcove (Alzheimer coperative valuation in Europe) menée par la Commission européenne et 19 États membres1. Lancés en 2011, ses travaux se sont achevés le 28 mars avec la publication de recommandations destinées à préserver la qualité de vie, l’autonomie et les droits des personnes malades et de leurs aidants. Celles-ci sont accessibles en anglais sur Internet (www.alcove-project.eu). Ces recommandations ont pour objectif de partager des connaissances sur la démence dans le domaine de la santé publique, de l’organisation de la prise en charge, des soins cliniques et de l’éthique et ainsi de faciliter la mise en œuvre de mesures de santé publique parmi lesquelles la prévention des risques dus aux antipsychotiques. Elles s’articulent autour de quatre axes : comment améliorer les données pour une meilleure connaissance de prévalence de la démence ; favoriser un diagnostic le plus précoce possible ; améliorer les soins aux personnes atteintes de démence ; et enfin, améliorer leurs droits, notamment la prise en compte de leur volonté.
Côté français, l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), la Haute autorité de santé (HAS) ou encore l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris participent à ce projet.
Un vernis photo-luminescent pour prévenir les chutes en Ehpad
L’entreprise vendéenne Evidences Mobiliers, en collaboration avec le groupe Medica, vient de mettre au point un vernis photo-luminescent qui, appliqué sur les contours du mobilier d’une chambre d’Ehpad, vise à prévenir les chutes nocturnes des résidents, lesquels ne sont pas pour autant gênés dans leur sommeil. En émettant de la luminosité dans l’obscurité, ce vernis permet en effet aux résidents de distinguer la position des meubles pour déterminer un chemin de mobilité en toute sécurité. Medica a en effet constaté qu’au sein de ses établissements, 75 % des chutes déclarées en 2012 ont eu lieu dans les chambres dont 54 % entre 19 h 00 et 8 h 00 du matin.
Medica a annoncé l’ouverture de son premier Ehpad entièrement doté de cette technique en avril 2013, à Saint-Sulpice-sur-Leze (Haute-Garonne). Une généralisation est prévue dans tous les établissements du groupe en création ou en cours de rénovation tandis qu’une réflexion est en cours pour équiper les établissements déjà ouverts.
L’Observatoire B2V des mémoires officiellement lancé
Le Groupe B2V, spécialiste de la protection sociale et doté d’un statut paritaire, a inauguré, le 16 avril, cette instance qu’il souhaite innovante et polyvalente. L’Observatoire des mémoires (www.observatoireb2vdesmemoires.com) a en effet vocation à « approfondir la compréhension de la mémoire sous toutes ses formes (individuelle, collective, d’entreprise…), diffuser la connaissance et participer au développement de moyens de prévention ». En somme, il est « un laboratoire sociétal privilégié qui permettra de vulgariser des thèmes de recherche généralement inaccessibles au grand public », dixit Isabelle Pécou, Directrice générale de B2V. Sa mission est donc aussi didactique puisqu’il est censé s’adresser au plus grand nombre afin de permettre l’accès aux recherches les plus récentes sur les différentes formes de mémoire et de partager en les diffusant les progrès en matière de prévention.
Le conseil scientifique de l’observatoire est présidé par le Professeur Francis Eustache, directeur de recherche à l’Inserm, et est composé de nombreux universitaires.
Parmi les premiers projets de l’Observatoire, figurent l’organisation de colloques et de conférences, des actions pilotes autour du thème « nutrition et mémoire » ou encore la délivrance de bourses doctorales et des Prix B2V décernés aux promoteurs d’initiatives novatrices portant sur la mémoire individuelle ou collective.
Medica s’engage au profit du développement durable
À l’occasion de la Semaine du développement durable organisée par le ministère de l’Ecologie du 1er au 7 avril 2013, le groupe Medica s’est engagé « à promouvoir les comportements éco-responsables avec le lancement d’opérations de sensibilisation de ses équipes » dans ses établissements. Il va ainsi financer des « bons cadeaux développement durable » pour l’ensemble de ses maisons de retraite et de ses cliniques. Chaque directeur d’établissement pourra ainsi choisir, dans un panel de sept actions environnementales, l’opération qu’il mènera en priorité pour diminuer l’impact sur l’écologie de son établissement : mise en place du compostage, récupération d’eau de pluie, déstockage des Déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE), formation à l’éco-conduite ou encore installation d’ampoules basse consommation.
Medica « souhaite lever les freins éventuels relevant du coût, de la recherche d’idées ou de l’identification d’un prestataire ». Et pour sensibiliser davantage sur le sujet, le groupe a également lancé une première campagne d’affichage interne sur la mise en veille des appareils électriques. D’autres initiatives portant sur la gestion de l’eau (juin 2013), de l’éclairage (septembre 2013) et de la gestion du papier (novembre 2013) sont prévues.