Fin de vie et bien-être culinaire
lointaine. Le symptôme rendant généralement difficile de manger des quantités habituelles, il est préférable de proposer les repas ou collations plusieurs fois dans la journée, à un moment que la personne âgée juge propice.
Mettre en place un projet autour du résident, de sa famille avec un groupe de travail
La mise en place d’une offre de restauration spécifique aux personnes en fin de vie doit s’appuyer sur un groupe de travail sur la base du volontariat : médecin et IDE de l’équipe mobile de soins palliatifs, Direction, diététiciennes, encadrement cuisine, responsable hôtellerie, cadre et IDE et AS de l’unité de soins concernée.